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    ... que pensez-vous du droit à l'image ?

    Je ne parle pas du copyright (qui pourrait une autre fois faire l'objet d'un débat)

    mais bien des photos de personnes, de jardins, de plantes.

    Vous posez-vous les bonnes questions avant de les publier ?

    Est-ce qu'une bonne ou au contraire, une mauvaise photo a une influence sur votre opinion ?

     

     

    Notre société est devenue très axée sur l'image. Avec les nouvelles technologies, tout le monde prend des photos tout le temps pour les publier sur les réseaux sociaux, les blogs...

    Or, selon la loi, avant de prendre une photo d'une personne, vous devez lui demander son consentement. Si vous souhaitez par la suite publier ces photos sur Internet ou dans un journal ou une revue, vous devez là encore demander le consentement de la personne concernée.

    Bien sûr, pas de ça entre nous. Mais, récemment, il m'est arrivée de demander à ce qu'on retire quelques photos de moi où je n'étais pas à mon avantage.

    C'est vrai qu'on vieillit et qu'on doit l'accepter. Même si dans la tête, on a toujours 20 ans.

    Mais parfois une grimace, une mine fatiguée et hop, on donne une image de soi pas très positive.

    Et là, certains personnages politiques me viennent à l'esprit. Je me dis qu'on ne leur fait pas de cadeaux à eux et que les conséquences peuvent en être lourdes pour leur avenir.

     

    Je n'ai aucune affection pour Jacqueline Galant, notre ex-ministre de la mobilité,

    mais les journalistes l'ont littéralement grillée en publiant ces photos :

     

    Dites-moi...     Dites-moi...

     

    très loin de sa photo officielle :

     

    Dites-moi...

     

     

    Pareil en France avec votre président, François Hollande :

     

    Dites-moi...

     

    Dites-moi...

     

    Cette dernière a fait le tour des réseaux sociaux, accompagnée de commentaires

    les plus odieux les uns que les autres.

     

     

    Moralité : une fois devenu célèbre, on n'aurait plus aucun droit de regard sur son image ?

     

     

    J'ai envie de faire un parallèle avec les photos de jardins. Sur le net, Google nous donne accès à toutes sortes de photos : de la qualité professionnelle au pur amateurisme.

    Imaginons que j'ai tapé : "Le jardin de Monet". Si j'atterris sur le site officiel, ça me donne ceci et très envie d'aller m'y balader :

     

    Dites-moi...

     

    Par contre, en voyant celle-là, j'hésite :

     

    Dites-moi...

     

    Non pas que la qualité soit beaucoup moins bonne mais

    s'imaginer au beau milieu d'une foule de gens, c'est autre chose.

     

     

    On essaie avec un autre jardin, allez "Piet Oudolf".

    Je tombe sur une photo de Hans van Horssen et je dis : wouah !

     

    Dites-moi...

     

    J'en vois une autre, publié sur un blog et je me dis : bof.

     

    Dites-moi...

     

     

     

    N'avez-vous jamais hésité à laisser photographier votre jardin ? On a tous nos pustules et on est tellement habitués à les éviter en rusant ou en choisissant le meilleur angle. Il y a aussi la lumière : pas top en plein soleil alors que vous, vous les prenez toujours en tout début ou en fin de journée.

    Heureusement, mes 6 amis (dans mon livre) n'ont pas réfléchi comme ça sinon, il me manquerait un chapitre entier !

     

    Passons maintenant aux plantes tout simplement :

     

    la même rose (Violette) vue par Carolyn Parker (à gauche) ... je cours me l'acheter. Il me la faut absolument.

                                            et à droite, photo trouvée sur Help me Find... pas terrible. Je choisis un autre rosier !

     

     

    Dites-moi...       Dites-moi...

     

     

     

    Et on peut faire la même chose avec d'autres plantes comme ce géranium Mrs Kendall Clarke :

     

    Dites-moi...        Dites-moi...

     

     

    Là, on parlait de qualité de la photo mais j'irais plus loin.

    Quand je photographie mes roses, j'élimine toutes celles qui montrent des signes de fatigue,

    les tachées, les trouées. J'évite les bestioles aussi.

     

    Il m'est déjà arrivée de publier une photo comme ceci :

     

    Dites-moi...

     

    mais c'était pour montrer pourquoi j'avais viré ce rosier.

    Je sais, je suis implacable mais moi, les photos de jardins et de fleurs doivent me faire rêver.

    Il ne s'agit pas d'occulter la réalité mais d'exposer les fleurs qu'on aime sous leur meilleur jour.

    Et qui sait si j'aime mes roses !

     

    Il devrait en aller de même avec les gens. Si on aime bien la personne,

    on ne la publiera pas avec une tête à faire peur.

    J'en profite pour remercier Marie de m'avoir gentiment décapitée à La Feuillerie !

    Et aussi de rappeler que Bruno n'aime pas être pris en photo.

    (L'arroseur n'aime pas être arrosé !) A bon entendeur !

     

    Bon maintenant, qu'est-ce que je vais oser publier pour mon article de demain sur Beervelde ???

     

     

     


    38 commentaires
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    ... avez-vous des graminées au jardin ?

    Vivaces ? Annuelles ?

    Comment parvenez-vous à les intégrer dans les massifs ?

    A moins que vous ne les cultiviez en isolé ?

    Quels soins leur apportez-vous ? Quand les taillez-vous ?

     

     

     

    Quand on me dit "graminées", je pense immédiatement à Renée du Jardin d'Entêoulet.

     

    Dites-moi...

     

     

     

    Mais comment les intégrer dans un petit jardin comme le mien ?

    J'ai eu autrefois des Miscanthus giganteus et aussi gracillimus et

    j'ai fini par les supprimer juste pour une question de place.

     

    Dites-moi...

     

     

    Mais j'en ai plantées d'autres. Les voici :

    Je commence par ma préférée, 

     

    Dites-moi...              Dites-moi...

    Deschampsia cespitosa 

     

     

     

     

    Dites-moi...

    Chasmantium latifolium 

     

     

    Dites-moi...               Dites-moi...

                                                             Melica altissima atropurpurea                                                     Calamagrostis brachytrica

     

     

    Pour les Stipa tenuifolia, j'ai beaucoup de mal à les faire accepter 

    dans des massifs où tout est planté très serré.

    Alors, je n'en ai gardé qu'un seul, en pot.

     

    Dites-moi...

     

    Pour ce qui est de la taille, je coupe très tôt au printemps,

    avant que les nouvelles feuilles n'apparaissent.

     

    Dites-moi...

     

     

     

    Passons maintenant aux graminées annuelles et là aussi le choix est très grand.

    Parmi mes herbes de prédilection, il y a :

     

    Dites-moi...              Dites-moi...

    Briza minima

     

     

    Dites-moi...               Dites-moi...

     

     

    Hordeum jubatum

     

    Dites-moi...

     

     

     

     

    Dites-moi...             Dites-moi...

     

    Setaria Caramel

     

     

    Dites-moi...

    Lagurus ovatus

     

     

    Dites-moi...              Dites-moi...

                                                                 Panicum violaceum                                                             Panicum Elegans Fountain

     

     

    Dites-moi...

     

    Les Pennisetum setaceum rubrum me sont aussi devenus indispensables

    pour apporter classe et douceur en fin d'été.

     

    Dites-moi...

     

    Ils se marient parfaitement aux roses (Jayne Austin sur la photo).

     

    Toutes ces beaux plumeaux offrent un spectacle fabuleux

    avec la lumière de fin de journée.

     

    Dites-moi...

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    20 commentaires
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    ... en tant que blogueur, êtes-vous (très) sensible au nombre de commentaires sur vos posts ?

    en tant que lecteur, qu'est-ce qui vous pousse à en laisser un ou à ne pas en laisser ?

    Eprouvez-vous des difficultés à en laisser sur certains blogs ?

     

     

    Cette dernière année, j'ai pu lire à plusieurs reprises le découragement de certains blogueurs, déçus du peu de commentaires que l'on reçoit sur nos blogs.

    Certains étant même sur le point de tout arrêter.

    A titre indicatif, voici quelques-unes de mes dernières statistiques (date - nbre de visites - nbre de commentaires) :

     

    17/04 - 1049 - 46

    16/04 - 803 - 7

    15/04 - 784 - 16

    14/04 - 888 - 20

    13/04 - 858 - 15

     

    A noter quand même que parfois, cela concerne plusieurs posts répartis sur une même journée (je sais, je suis une vraie pipelette).

    La proportion de commentaires par rapport au nombre de visites est quand même frappante.

    D'où la question que je me pose souvent : mais qui sont tous ces gens derrière leur écran qui me suivent chaque jour ?

    Pourquoi ne me font-ils pas simplement un petit coucou ?

    A cette question, j'ai plusieurs pistes d'après les réponses que l'on m'a déjà fournies lors de rencontres au détour de fêtes des plantes.

    Certains n'osent pas. C'est beaucoup plus facile de rester anonyme et de suivre toutes nos aventures comme simple spectateur.

    D'autres ont même peur de laisser des traces sur le net. C'est vrai qu'on se rapproche chaque jour un peu plus du monde de "Big Brother" mais il faut aussi pouvoir vivre avec son temps. (Rien n'empêche d'utiliser un pseudo avec une adresse bidon).

     

    Dites-moi...

     

     

    Le manque de temps est aussi souvent évoqué. Nos journées sont trépidantes et on surfe souvent "en vitesse".

     

    Dites-moi...

     

    Et quand certains jours, on a le temps, on a peut-être la flemme. Juste envie de se laisser porter d'un blog à l'autre sans intervenir.

     

    Dites-moi...

     

    Je peux comprendre toutes ces "non-réactions" car je les vis aussi chaque jour.

    Si mon nombre de commentaires est plus élevé le dimanche, c'est parce que c'est le jour du "Dites-moi", rubrique très interactive où chacun est invité à venir donner son avis sur un sujet bien précis.

    En dehors de cela, certains posts ne suscitent aucun commentaire car ils appellent juste à la contemplation.

     

    Dites-moi...

     

     

    La publication sur les réseaux sociaux, surtout Facebook, est devenue incontournable. De moins en moins de personnes s'inscrivent encore aux newsletters. Le les comprends : voir sa boîte mail encombrée d'avertissements vers de nouveaux posts - surtout quand le blogueur publie régulièrement - est plutôt rébarbatif. J'invite d'ailleurs souvent mes lecteurs à utiliser Bloglovin bien plus pratique.

     

    Dites-moi...

     

     

    Facebook a l'avantage de regrouper plein de choses : des photos de jardins, des liens vers des posts sur les blogs, des trucs et astuces entre jardiniers, des états d'âme aussi... Et quand on veut réagir, il est beaucoup plus facile de laisser un commentaire sous le lien que sur le blog lui-même.

     

    Le week-end passé, à mon "Dites-moi" sur les lavandes, j'ai récolté 22 commentaires sur le blog et 15 sur Facebook.

     

    Dites-moi...     Dites-moi...

     

     

    Parlons maintenant de la difficulté de laisser un commentaire sur certains blogs. 

    Chez Eklablog, facile : juste un nom ou pseudo est requis, le reste étant facultatif.

    Chez Blogger, il faut s'identifier avec un compte Google. Si on n'en a pas, il faut absolument en créer un. Lydie a créé un chouette tuto, voir ici.

    Une fois les données de ce compte enregistré, il est facile de laisser d'autres commentaires.

    Chez Canalblog, il faut entrer un nom ou un pseudo ET une adresse mail. Et comme il ne garde pas les données en mémoire, je laisse souvent un commentaire en m'identifiant à l'aide de mon compte FB. C'est facile mais ça veut dire aussi que Canalblog a ainsi accès à certaines de vos données sur FB.

    Chez Over-Blog, Il suffit de taper le début de vos coordonnées (nom, e-mail et éventuellement blog) et la saisie automatique fait le reste.

    Bref, c'est pratiquement différent sur chaque blog et là aussi, je comprends que certains soient perdus et renoncent à laisser un message.

     

    J'aimerais que pour une fois, quelques lecteurs timides viennent nous donner leur avis à ce sujet.

     

     

     

     

     


    107 commentaires
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    ... avez-vous des lavandes au jardin ?

    En êtes-vous satisfaits ? N'ont-elles pas tendance à vieillir mal ?

    Quand et comment les taillez-vous ?

    (précisez aussi votre région, svp)

    Quelle couleur a votre préférence ?

     

     

     

    Le week-end passé, j'ai eu la chance de rencontrer enfin pour de vrai Monique des Jardins d'Arhada.

    Monique a depuis quelques années, sa petite pépinière et s'est spécialisée en lavandes.

    Allez donc jeter un oeil à son catalogue en ligne, elle a de vrais trésors.

     

    Dites-moi...

     

     

    Des lavandes, j'en ai eu mais comme elles ne semblaient pas se plaire au jardin et finissaient toujours par dégénérer, j'ai pendant longtemps abandonné leur culture.

    Jusqu'à ce week-end où je me suis retrouvée sur le stand de Monique. Je me dis que chez nous, en Belgique, on doit les considérer comme des vivaces de vie très courtes et ne pas hésiter à les remplacer régulièrement. Après tout ce serait si dommage de se priver de leur bleu fascinant qu'il soit dans des tons de bleu des Mers du Sud (mes préférées) ou bien beaucoup plus foncé comme chez Laurence ci-dessous. J'invite d'ailleurs cette dernière à venir nous expliquer ses astuces car elle s'est déjà tellement souvent plainte de son terrain humide que je me demande comment elle fait pour ses lavandes.

     

    Dites-moi...

     

     

     

     

    Chez Fabienne, je sais : sa terre est très sablonneuse et constitue le substrat parfait pour ces belles du Sud. 

     

    Dites-moi...            Dites-moi...

     

     

     

    Chez nous, dans le Nord, quand les jardiniers jettent l'éponge pour les lavandes, ils se rabattent sur les népétas

    qui ont la particularité de fleurir aussi sur une très longue période.

    Le parfum n'est pas le même mais au niveau coloris et rusticité, elles assurent.

     

    Dites-moi...

     

    Au jardin-concours du Roeulx, Pierre en a planté de longues bordures.

    En plein soleil, elles ont bien la place pour s'épanouir et donner le change aux merveilleuses roses.

     

     

    Venez aussi me dire comment vous l'utilisez une fois séchée...

    En petits sachets pour le linge ? En bouquets ?

     

    Dites-moi...

     

     


    30 commentaires
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    ... à ce jour, quelques-uns d'entre vous ont déjà eu l'opportunité de feuilleter mon nouveau livre.

    Venez nous donner vos premières impressions.

    En général, qu'attendez-vous en premier d'un tel ouvrage ?

    Le prix est-il important à vos yeux ? A partir de quel montant, trouvez-vous qu'un livre de jardinage est cher ?

    Sur quel critère décidez-vous de l'acquérir ?

    Le format est-il important ? La qualité du papier ? 

    Quid du titre ?

     

     

    La première impression est bien sûr la couverture. C'est elle qui donne envie - ou pas - d'ouvrir le livre.

    Elle doit être facilement lisible et aussi inviter à la rêverie.

    Si je reprends les livres de ma bibliothèque, je suis toujours autant attirée par ce genre de couverture :

     

    Dites-moi...          Dites-moi...

     

    A croire que des gros plans, ça fonctionne mieux que des plans plus larges. Qu'en pensez-vous ?

    Quoi que... si je reprends le livre consacré au jardin de Renée, la couverture me donne aussi immédiatement envie de m'y replonger :

     

    Dites-moi...

     

    Encore plus aujourd'hui, en période de crise, le prix est un facteur déterminant. Sous les 20 euros, on n'hésite pas. Quoi que certains préfèrent dépenser cette somme à l'achat d'un rosier par exemple plutôt que dans du papier.

    A partir de 30 euros, cela devient du luxe pour beaucoup et on attendra alors une fête, un anniversaire pour se le voir offrir.

     

    Dites-moi...

     

     

    Le titre doit être à mon avis, assez court et résumer ce de quoi va traiter le livre. Mais il doit aussi bien sonner à l'oreille et évoquer de manière agréable (féminine ?) tout un univers. "Des compagnes pour mes roses" me paraissait plus judicieux qu' "associations autour des roses", par exemple.

     

    Dites-moi...

     

    Dans ma bibliothèque, j'aime "Des rosiers pour le plaisir" de J. Humery ou encore "The Quest for the Black Rose". Mais remarquez que très peu d'ouvrages liés au jardinage font dans le romantique.

    On m'a reproché (enfin quand je dis "on", je devrais plutôt citer un rosiériste) d'avoir sous-titré à "Roses", "Les meilleures variétés pour petits jardins". Tout d'abord, c'était un choix de l'éditeur et ça ne m'ennuyait pas. Je voyais l'aspect "petits jardins" mis en évidence et c'était bien ainsi. Quoi que le même rosiériste m'a reproché d'avoir inclus "Paul's Hymalayan Musk" dans ce livre ! Mais justement, il n'a rien compris ! Je voulais montrer à mes lecteurs que, même dans un jardin de 600 m², il était possible d'inclure des rosiers lianes. Mais c'est surtout le mot "meilleures" qui l'ennuyait. Evidemment, je ne pouvais pas tous les citer. Je me suis limitée à ceux que je cultivais dans mon jardin et pas de chance, aucun des siens n'y figurait. Pas de boycott de ma part, juste que je n'ai pas eu de coup de coeur, c'est tout.

     

    Dites-moi...

     

    Bref, vous voyez combien chacun des mots peut compter.

     

    La qualité du papier. Qui d'entre nous n'a jamais été sensible au fameux papier glacé des catalogues Austin ? Ca n'a l'air de rien mais j'en connais beaucoup qui comme moi, éprouve beaucoup de plaisir au toucher. D'ailleurs, j'ai vu pas mal de futurs lecteurs caresser la couverture de "Roses" avant de l'acheter !

     "The Quest for the Black Rose" va même plus loin encore, incluant quelques feuilles de papier de soie. Le top !

     

    Dites-moi...

     

     

    Le format. On aime pouvoir l'emporter partout, le glisser dans un sac.

    Trop petit, les photos en deviendraient illisibles. 

    Je pense que la collection 'Les essentiels" d'Ulmer est parfaite à ce niveau-là.

    Ca n'empêche que lors de l'achat, je suis prête à faire des exceptions pour un livre qui en vaut vraiment la peine comme "The Quest for the Black Rose" (encore lui).

    Sa taille est gigantesque (31x42 cm) mais d'un autre côté, c'est le pied pour mettre en valeur des photos d'une qualité exceptionnelle.

     

    Dites-moi...

     

     

    La qualité des photos. Hyper important à mes yeux. Je n'ai pas honte de dire que je fonctionne bien plus au visuel qu'aux mots. J'aime aussi quand de belles images occupent une page entière.

     

    Dites-moi...

     

    Les textes. Même s'ils sont pour moi moins percutants que les photos, ils doivent bien cibler leur public. Personnellement, j'ai pour objectif d'amener toujours plus de personnes vers le jardinage et donc, je ne vais pas utiliser un vocabulaire qui découragerait les débutants.

    Récemment, une lectrice assidue m'a dit " le ton et les commentaires sont ceux d'une jardinière passionnée et passionnante, pas du tout pédant" et une autre, "avec toi, pas de bla bla, que du résultat". C'est tout à fait ça ! C'est dans ma nature (et vous pouvez le constater chaque jour sur le blog) d'aller à l'essentiel. J'aime aussi garder le ton que j'adopte dans la vie de tous les jours qui se veut très convivial mais malgré tout respectueux. Je me voyais d'ailleurs mal utiliser des formes très littéraires qui mettent une certaine distance entre l'auteur et le lecteur. N'oublions pas que je n'ai pas la science infuse, mes ouvrages et mon blog ne sont que le partage d'expériences jardinières.

     

    Dites-moi...

     

    La langue. Seriez-vous prêt à acheter un livre en langue étrangère ?

    J'ai la chance de pouvoir maîtriser l'anglais et le néerlandais, ce qui élargit donc mon champ de lecture :

     

    Dites-moi...          Dites-moi...

     

     

    Dites-moi...          Dites-moi...

     

     

    Il y a des livres dont on n'a pas besoin de comprendre tous les textes pour apprécier :

     

    Dites-moi...

     

    et d'autres pour lesquels, on a très envie d'entamer des cours de langues (l'italien en l'occurrence) :

     

    Dites-moi...          Dites-moi...

     

     

     

     

     

     


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