Il y a peu, je vous avouais qu'il s'agissait de mon chouchou et je n'ai toujours pas changé d'avis.

Je vous en avais déjà parlé ici au début de la création de ce blog et aussi là quand je lui avais consacré un vase à lui tout seul.

 

 

 

 

 

La dernière fois, je vous l'avais montré en compagnie de The Fairy. Aujourd'hui, le voici avec Frisson Frais en arrière-plan :

 

 

 

 

LE rosier sans soucis !

 

  

 

Il est beaucoup plus clair en été sous les rayons du soleil.

 

 

  

 

Il s'associe merveilleusement bien avec les roses anglaises comme ici, en haut à droite (Charles Rennie Mc Intosh)

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Jacques Cartier a des roses magnifiques mais il a un gros défaut : plusieurs fleurs poussent sur la même tige, de manière très serrées, ce qui les empêche de s'épanouir complètement, parfois même de pourrir par temps de pluie. L'arbuste a aussi un port très raide et doit être bien entouré pour masquer cela. Si malgré toutes ces réserves, vous craquez quand même pour lui, je comprendrais parfaitement ! Plus de photos : ici

 

  

 

 

 

Trop méconnu, Frisson Frais, création de Louis Lens est un petit bijou pour les fonds de massif. Un rosier sans problème que je taille en mars et qui refleurit jusqu'aux gelées si l'on prend la peine d'enlever les fleurs fanées.

 

 

  

 

Sur la photo ci-dessus à gauche, à l'avant des fleurs fraîches, à l'arrière, avec quelques jours de plus, un côté "passé" qui lui donne un certain charme.

 

A ce jour, il est toujours en fleurs (photo ci-dessous prise le 25/10)

 

 

Depuis la fenêtre de ma cuisine :

 

  

 

 

 

Quant à Boule de Neige, vous ne le verrez qu'en bouquets car en fond de massif, il n'est pas encore assez haut pour être photographié.

 

 

  

 

  

 

 

Black prince est assez semblable au The Prince de David Austin, je dirais qu'il est un tantinet plus cramoisi encore. Je vous en ai déjà parlé ici et là. Il a de gros défauts (très épineux, port raide, sensibleà l'oïdium) mais on peut y remédier en lui offrant une nourriture suffisante et des compagnes qui viendront masquer son "bas" disgracieux. Son parfum capiteux et ses roses très affriolantes vous feront oublier tout cela très vite.

 

 

 

                    

 

 

 

 

Conrad Ferdinand Meyer vient tout juste d'être déplacé pour rejoindre ses 15 compagnons. Pourquoi ? Parce qu'il ne donnait pas satisfaction à la terrasse (2 fleurs sur une saison, ça laisse vraiment un goût de trop peu !). En espérant qu'il trouve son bonheur ici... Sinon, je l'abandonne... Avouez que ce serait bien dommage ! (Revoir son éclosion : ici.)