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A la terrasse, les pots sont maintenant bien intégrés au point qu'on ne les voit même plus et
celui, en grès dans lequel on peut admirer le beau Melinis nerviglumis de Marie-Claude
(il a vachement grandi depuis le printemps !),
est en passe d'être envahi par l'Helxine soleirolii.
Des petits Dianthus superbus émergent d'un brouillard d'Ageratum 'Old Grey.
Qu'est-ce qu'on peut faire des merveilles avec quelques graines seulement !
Le Seeds of Love approche... N'oubliez pas de récolter vos graines, c'est le moment !
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Un magnifique dahlia, très vigoureux et aux fleurs très résistantes.
J'ai été contente de le cultiver pendant plusieurs années mais
je vais m'en débarrasser...
La raison, c'est la taille des fleurs. Un peu trop grandes à mon goût, surtout en début de saison.
Comme tous les dahlias d'ailleurs, les papillons l'adorent.
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Depuis bientôt trois semaines, je récolte des cobées encore et encore.
De quoi faire plein de bouquets !
Et pourtant, un pied de chaque, une blanche et une violette, ont suffi
à produire de nombreuses lianes qui n'en finissent pas de fournir
ces belles clochettes tant convoitées.
Je les cultive dans de simples pots en plastique
que je dissimule au pied de rosiers grimpants.
La culture, une fois le semis levé est très simple.
Il ne faut pas oublier les arrosages et personnellement,
je leur apporte comme à mes autres plantes annuelles, de l'engrais 20-20-20.
Le plus difficile, je disais donc, est de réussir le semis.
Cette année, pas de problème pour les blanches.
Par contre, du côté des violettes, je n'ai rien vu venir et heureusement,
Charlotte est venu à ma rescousse avec un joli plant.
Ce n'est pas la première fois que je cultive des cobées mais cette fois,
je suis épatée par leur vigueur et la quantité de fleurs fournies.
Probablement, grâce aux chaleurs de ces dernières semaines.
Allez, il est temps de vous montrer les fleurs.
On commence par la blanche.
Je l'aime à tous les stades.
Elle pousse au pied du rosier St Swithun qu'elle envahit un peu, beaucoup,
puis part à l'assaut de l'Acer griseum juste à côté :
Elle longe également une partie du mur sans avoir rien à s'accrocher pourtant :
Question vigueur, la violette n'est pas en reste.
Elle pousse au pied du rosier New Dawn et va jusqu'à... 6 mètres plus loin !
On est mi-septembre et elle continue à pousser, pousser...
Ses vrilles tentent de s'accrocher partout. C'est fascinant !
Je comprends que dans certaines régions, elle est considérée comme très envahissante.
Elle, c'est quand elle est mauve pâle que je la préfère :
Même si, en fonçant, elle reste très belle.
Ses tiges sont bien costaudes, ce qui est pratique pour les compositions florales.
De plus, elle tient plusieurs jours en vase et même,
quand la fleur tombe, le calice reste encore très esthétique.
Je vais conclure avec une photo de Bruno que j'aime beaucoup (euh... sa photo et Bruno bien sûr).
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L'un des dahlias les plus fiables. Très vigoureux au point d'être divisé souvent (au printemps c'est mieux)
et faire plein d'heureux.
Ni jaune, ni crème, il oscille entre les deux.
Les dahlias sont des plantes très mellifères.
Je l'ai associé à mon rosier The Pilgrim et à la clématite viticella 'Little Nell'.
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