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    ... quels supports utilisez-vous pour vos plantes grimpantes ?

    Quel matériau ? A quel prix ? 

    Qu'est-ce qui se révèle le plus solide ?

     

    Cette question m'a été posée par Annie et plus récemment encore par Chantal qui voulait, elle, du fait maison à bon compte.

    Je vais vous détailler mes différents supports au jardin et à la Roseraie.

    Au jardin, d'abord. Les rosiers grimpants courent sur différentes structures mais que du solide. Bruno est toujours très prévoyant à ce sujet.

    Spirit of Freedom, St Swithun, Albertine et New Dawn poussent sur la structure en bois massif qui a été ajoutée, dès notre arrivée en 93, à la façade qui était toute plate et

    ordinaire.

     

    Dites-moi...

     Albertine

     

     

    Dites-moi...

     New Dawn

     

     

    Dites-moi...

     

     

    D'autres rosiers grimpent contre le mur de façade (côté jardin intérieur) et retombent langoureusement de l'autre côté (côté rue).

     

    Dites-moi...

     

    Dites-moi...

     May Queen

     

     

    Au-dessus, de l'allée qui nous sert de garage, une arche supporte 5 rosiers lianes. Elle a été fabriquée en métal et est adossée au mur du voisin. Ce sont en fait  de grandes barres de fer qui ont été fixées (boulonnées) en T. Suffisamment costaudes pour supporter le poids de rosiers lianes (surtout quand ils sont remplis de cynorrhodons) sans prendre de risques pour les voitures.

     

    Dites-moi...

     

    Dites-moi...

     

     

    Dites-moi...

     

     

    Souvent, on conseille de laisser courir un rosier liane sur un arbre. Encore faut-il préciser "un arbre de belle taille". Cette année-là, j'avais eu la bonne idée de laisser mon Paul's Hymalayan Musk prolonger  ses longues branches sur mon Pyrus salicifolia. L'effet était spectaculaire et d'un romantisme... ! Mais une année, pas deux ! Le vigoureux rosier commençait à prendre le dessus sur le Pyrus qui avait moins de feuillage !

     

    Dites-moi...

     

     

    Si vous n'avez pas peur de vous lancer dans une construction de plus grande envergure, une pergola est un excellent moyen de faire pousser des grimpantes.

     

    Dites-moi...       Dites-moi...

     

     

    Dites-moi...

     Vigne et glycine grimpent sur la pergola

     

     

    Parfois, il m'est arrivée de démarrer avec un "bête" treillis acheté en jardinerie pour guider le rosier à ses débuts, puis avec l'âge, il est superflu, le rosier (ici Belle de Sardaigne) se reposant sur la toiture.

     

    Dites-moi...       Dites-moi...

     

     

    Quelques années plus tard, il m'a fait une longue branche qu'on a décidé de guider en guirlande au-dessus de la fenêtre de ma cuisine et là, il a fallu l'aider un peu avec quelques pitons forés dans le mur.

     

    Dites-moi...

     

     

    Et cette année, il me promet encore un chouette décor pour ma façade.

     

    Dites-moi...

     

     

    Le long de la piscine poussent aussi quelques petits grimpants sur des arches en métal que j'avais gagnées lors d'un concours il y a très longtemps. A l'époque, je ne me serais pas permise une telle dépense mais le concours m'a aidée. Et avec du recul, l'investissement même élevé vaut la peine. Elles sont toujours là, intactes et aussi solides que jamais.

     

    Dites-moi...

     

     

    Dites-moi...

     Perennial Blue

     

    Il faut quand même choisir une certaine qualité. Quand j'ai planté les rosiers grimpants dans le coin Foucart en 2017 à la Roseraie, le jardinier communal était allé me chercher deux arches dans un magasin hard-discount (Traffic) et elles n'ont pas duré très longtemps car l'hiver dernier, il a fallu les remplacer. Et les changer signifie devoir se dépatouiller avec de longues branches épineuses à détacher puis réinstaller sur le nouveau support sans casse. Donc, un conseil, essayez de faire le bon choix dès le départ.

     

    Dites-moi...       Dites-moi...

     

    Dites-moi...     Dites-moi...

     

    Il arrive souvent qu'après une tempête, je reçoive un ou deux mails d'amies me demandant conseil pour des rosiers grimpants, à terre, avec la structure en bois toute cassée. Je conseille alors le métal.

     

    Dites-moi...

     

    Celles de la Roseraie sont le modèle York, venant de chez Matelma.

    A la Roseraie, des grimpants de taille modeste poussent aussi sur le grillage de l'entrée. Il faut avouer que c'est bien plus beau qu'avant, de voir de la verdure et des fleurs plutôt qu'un treillis en plastique ! Mais il faut tailler régulièrement pour que de longues branches nn'aillent pas embêter les piétons qui longent le trottoir.

     

    Dites-moi...   Dites-moi...

     

     

    Enfin, le nec plus ultra : un tunnel de roses... Ce n'était pas prévu au départ de cette manière mais quand j'ai hérité d'une partie de la structure d'une amie, qui était encore en excellent état après ponçage, il ne restait plus qu'à les installer sur des piquets en bois. Pour tout ça, j'ai eu heureusement l'aide des ouvriers communaux qui ont fait un excellent travail. Il ne reste plus qu'à attendre que les rosiers recouvrent l'ensemble et ce sera fabuleux.

     

    Dites-moi...       Dites-moi...

     

     

    Pour des tout petits grimpants, un support moins classique peut-être envisagé comme avec ma boîte aux lettres pour Raubritter.

     

    Dites-moi...

     

    Là, on a parlé "rosiers" mais il y a aussi toutes sortes de plantes plus ou moins vigoureuses qui peuvent donner de la verticalité à votre jardin.

    Pour une glycine, il faut prévoir du solide et ne pas la laisser s'entortiller autour de poutres trop fines. Avez-vous déjà vu les branches d'un sujet très âgé ?

    Pour une vigne à raisins, pareil car en automne, avec le poids des fruits, ça change tout.

     

    Dites-moi...

     

    Certaines plantes grimpantes s'agrippent toutes seules avec un système genre "ventouses" comme les vignes vierges.

     

    Dites-moi...      Dites-moi...

     Parthenocissus tricuspidata 'Veitchii'

     

     

    Pour les clématites, on peut les faire grimper sur des rosiers grimpants déjà bien établis (ne pas planter les deux la même année, laisser le temps au rosier de s'installer sans être étouffé) et même, pour des clématites à développement raisonnable, sur des rosiers arbustes.

     

    Dites-moi...         Dites-moi...

                                                       Clematis 'Warsaw Nike' dans Rosa 'St Swithun'                      Clematis 'Litlle Nell' dans Rosa 'The Pilgrim'

     

    Il reste aussi la solution du treillis. Ici, j'en ai deux : un pour mon jasmin officinale et un autre pour le jasmin rose.

     

    Dites-moi...

     

    Les pois de senteur peuvent pousser sur des grillages à l'ancienne (mais j'ai toujours trouvé ça moche) ou sur de jolis supports comme on peut trouver dans les bonnes jardineries.

     

    Dites-moi...       Dites-moi...

     

    Leurs pendants vivaces, eux, ont un développement bien plus grand et si on ne ne donne rien pour grimper, ils vont courir un peu partout (parfait pour les talus).

     

    Dites-moi...

     

    Voici donc un petit éventail de ce que j'utilise personnellement mais il existe encore bien d'autres possibilités et je compte sur vous pour donner des idées à mes deux amies citées au début.

     

     

     


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    ... comment cultivez-vous vos dahlias ?

    Les forcez-vous comme moi avant de les mettre en terre en mai 

    ou bien les plantez-vous directement à la même période ?

    Les laissez-vous en terre ? Dans ce cas, quelle région habitez-vous ?

     

    Dites-moi...

     

    Des dahlias comme ceux-là, on en rêve ! Des fleurs non-stop durant des mois et des mois, que demander de plus ? Ah oui mais pourtant, souvent, je lis : "les dahlias, c'est trop de travail, faut les sortir au printemps, les rentrer pour l'hiver... ils ont tous été mangés par les baveux... ils n'ont pas fait de fleurs...".

     

    Je serai très curieuse de lire vos manières de procéder. Voici la mienne :

     

    Vers la mi-mars, je sors mes dahlias des caisses en carton où je les entrepose dans la chaufferie (la pièce est hors gel l'hiver et il n'y fait jamais très chaud), je les plante dans des pots plastiques provisoires, un peu plus grands que la taille du tubercule dans un terreau légèrement humidifié. Je les replace ensuite à nouveau dans la chaufferie près des sources de lumière.

     

    Dites-moi...

     

     

    Environ trois semaines plus tard, la plupart se sont déjà réveillés et montrent de belles pousses vertes. Si les températures sont clémentes comme c'est le cas depuis la semaine passée, je les sors au fur et à mesure de leur réveil. Je les installe près d'un mur, bien abrités du vent froid et surtout des limaces et avec bien de la lumière. Ils vont ainsi continuer de se développer jusque mi-mai sans exagération par rapport à si je les avais laissés dans la chaufferie. Cela permet aussi de les acclimater tout en douceur.

     

    Dites-moi...        Dites-moi...

     

    Et s'ils deviennent malgré tout trop hauts, je les taille d'un tiers au-dessus d'un départ de feuilles. En plus, cela les poussera à se ramifier et donc, à fournir plus de fleurs.

    Je tiens à rassurer certains jardiniers qui s'inquiètent de ne pas encore voir d'oeil sur certains de leurs dahlias : tous ne sont pas encore réveillés ici non plus. Certains ont parfois besoin d'un peu plus de temps mais au final, il est assez rare qu'un tubercule ne redémarre pas.

    Ici, dans l'ouest de la Belgique, hors de question de les laisser en terre. Certains s'y risquent mais c'est jouer à la roulette russe, il suffit d'un hiver un peu plus rude pour tout perdre. Non, je tiens trop à certaines variétés.

     

    Pour l'hivernage, au début, je les mettais sur un "lit de sable" comme j'avais lu afin qu'ils ne pourrissent pas. 

    Il y a deux ans, je commençais à avoir trop de dahlias, ça prenait trop de place, je les ai simplement posés dans des grands cartons et ça a marché aussi.

    Habituellement, on enlève tout ce qu'on peu de terre, on les laisse sécher quelques jours plein soleil si possible et on enlève l'excédent de terre et pas grave s'il en reste un peu. Ca fonctionne très bien.

    L'an passé, Bruno, jeune retraité, avait plus de temps et a décidé de les passer au jet d'eau pour qu'ils soient plus propres. Résultat : on a bien eu peur quand on les a sortis

    au printemps. Beaucoup étaient ridés et clairement en moins bonne forme que d'habitude. Cet automne, on en reviendra au nettoyage en oubliant les grandes eaux.

     


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    ... est-ce que les frais de port pour l'achat de plantes par correspondance  vous posent problème ?

     

    Depuis le confinement, beaucoup ont fait comme moi et ont découvert les joies de la vente par correspondance. C'est pratique, safe (sauf pour ceux qui disent qu'il faut vivre

    avec le Covid alors que ça signifie vivre comme si le Covid n'existait pas), un gain de temps aussi.

    Avant le Covid, j'achetais très peu sur le net et j'ai bien sûr commencé avec des articles en tous genre sur Amazon (ou Bol). Je sais, c'est maaaaaaaaaaaaal sarcastic

    Puis, en manque de plantes, je me suis aussi intéressée à la VPC dans ce domaine même si là, j'avais déjà l'expérience de Promesse de Fleurs qui me donnait satisfaction

    depuis des années déjà.

    Alors, j'ai commencé par de grosses entreprises du style Hermie ou Matelma où les frais de port sont nuls quand on achète à partir d'une certaine somme (35.00).

     

    Dites-moi...     Dites-moi...

     

    Comme le confinement durait plus longtemps que ce qu'on avait imaginé, quelques pépiniéristes se sont lancés dans l'aventure de la vente sur le net.

    C'est ainsi que j'ai commandé des fuchsias aux Pays-Bas. En plus, comme De Nachtwaker avait cessé toute activité, c'était l'occasion de continuer ma petite collection et de

    découvrir leurs magnifiques pelargoniums. J'ai ainsi fait ma première commande chez Vander Velde. A noter qu'ils ont aussi un choix formidables de pelargoniums et que

    ceux-ci s'hivernent beaucoup plus facilement encore que les fuchsias. J'avais payé 14.65 de frais de port.

     

    Dites-moi...

     

    Depuis peu, Marijke et Grégory (Alma Horta) proposent aussi un service de vente de plantes par correspondance en plus des ventes sur les fêtes des plantes auxquelles ils

    participent. ils ont commencé avec les iris de Louisiane et les pivoines, leurs deux spécialités, puis quelques plantes vivaces et tout récemment, ils ont proposé les mini-

    mottes de plantes vivaces que j'ai testées et dont je vous ai parlé ici.

     

    Dites-moi...

     

    C'est suite à quelques-unes des réactions sur les frais de port que j'ai décidé de faire ce post aujourd'hui.

    Vous devez tout d'abord bien faire la distinction entre les grosses sociétés qui ont la possibilité de faire réduire les coûts de ces frais de port de par les volumes qu'ils traitent

    chaque jour et les petits pépiniéristes qui se voient obligés d'utiliser des services postaux qui ont été privatisés ces dernières années, impliquant des prix qui ont grimpé en

    flèche. Vous le voyez bien quand vous allez vous-même à la Poste pour envoyer un simple colis. Pour l'étranger, ça donne l'impression de coûter une fortune.

    En plus, ces tarifs sont souvent liés au poids et avec des plantes vivaces, ça pèse beaucoup plus lourd que des rosiers à racines nues par exemple.

    Pendant le confinement, beaucoup de gens avaient pris de bonnes habitudes, privilégiant les petits artisans, les petits producteurs. Malheureusement, une fois déconfinés,

    on est vite retombés dans nos travers (rien à voir mais je pense au transport aérien : on a prouvé par A+B qu'il était facile de réduire fortement la pollution et une partie des

    problèmes environnementaux mais les gens se ruent vers les vols low-costs plusieurs fois par an, privés de liberté qu'ils ont été, les pauvres...). L'inflation est bien là et tout

    le monde va en souffrir dont les petits pépiniéristes. Dites-vous bien qu'ils aimeraient pouvoir envoyer leurs plantes à moindre frais mais ce n'est pas possible. Restons

    solidaires avec eux, plus que jamais. Ce sont eux qui nous font rêver, qui nous proposent des plants de qualités, qui répondent à toutes nos demandes de conseils et qui

    sont souvent créateurs de nouvelles plantes.

    Et puis, avec la flambée des prix du carburant, donner 10 ou 15 euros pour les frais de port peu aujourd'hui s'avérer plus intéressant que de se déplacer. Surtout s'il s'agit de

    plantes rares et que vous deviez ajouter une ou deux entrées pour une fête des plantes.

    Encore une chose : on en a déjà parlé mais continuez à éviter les achats au Royaume-Uni au risque de voir votre facteur vous réclamer des frais de douane faramineux pour

    obtenir votre colis ! On croise les doigts pour que ça finisse par se régler un jour...

     

     

     

     

     

     


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    ... comment s'infiltrer dans un massif mature sans faire de dégâts (plantes cassées, sol piétiné...) ?

    (question posée par Nicole)

     

     

    C'est une question qui m'a été posée à plusieurs reprises au fil des ans quand les gens voyaient la densité avec laquelle je plante dans de grands massifs.

    J'ai déjà vu parfois que certains jardiniers posaient en plein milieu des massifs, ci et là, des pas japonais.

    Pour moi, un pas japonais = une ou plusieurs plantes en moins dans le massif.

     

    Dites-moi...

    Credit photo : Silence ça pousse

     

     

    Je vais vous expliquer comment je fais pour y accéder.

    Tout d'abord, quand le massif n'est pas si large, je travaille autour : je désherbe à genoux avec mon petit coussin et cet outil qui me permet, avec le long

    manche, d'atteindre des mauvaises herbes un peu plus loin.

     

    Dites-moi...        Dites-moi...

     

     

    Pour les plus grands massifs, comme celui ci-dessous, rien à faire, je dois m'y aventurer et seule une bonne connaissance mentale du plan me permet de savoir où mettre

    les pieds. 

    Dites-moi...

     

    Il m'arrive souvent de relire mes plans juste avant une séance de désherbage dans un coin précis pour me souvenir que j'ai introduit l'automne précédent telle ou

    telle plante. Ce qui complique les choses, c'est que je n'aime pas les étiquettes (peu importe la forme qu'elles prennent). D'où l'intérêt de maintenir mes plans à jour. 

     

    Dites-moi...

     Ca, ce sont les plans dans ma farde sur lesquels je griffonne sans cesse,

    où je note les variétés d'annuelles, de bisannuelles...

    Quand je vois une plante, j'aime bien connaître son nom précis.

     

     

    Mais ça, c'est surtout au début du printemps parce que très vite, comme je plante très serré, on ne voit plus de terre nue et donc, les mauvaises herbes ont beaucoup moins

    d'opportunité pour prospérer. Donc ensuite, je vais beaucoup moins au milieu des massifs sinon que pour couper les fleurs fanées et j'en profite alors pour enlever les

    indésirables en même temps. J'évite aussi de m'y glisser quand il fait trop humide car c'est là que les dégâts risquent d'être plus importants.

     

    Dites-moi...

     

     


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    ... taillez-vous avec un sécateur classique ou un sécateur électrique ?

    Utilisez-vous des gants anti-coupe ?

    Quelle marque conseilleriez-vous pour cet achat ?

     

    Chaque année, avant la taille des rosiers, je me tâte... J'en achète un ou pas ?

    Avec 700 rosiers à tailler, ça m'éviterait des douleurs articulaires mais je n'ai pas encore franchi le pas car je risque encore plus l'accident : il y a quelques années, je me suis

    déjà coupé un bout de doigt avec un "bête" sécateur alors, avec un engin électrique, je crains le pire...

    Il y a aussi le souci qu'évoquait un jour Camille : qui n'a jamais perdu un ou deux sécateurs dans le jardin ? Bruno dit toujours en rigolant qu'il m'en faudrait un avec

    téléphone intégré pour pouvoir le faire sonner.

    Quand je regarde les offres sur internet, je ne sais pas vers lequel me tourner. Certains ont l'air plus maniables, plus légers que d'autres ... Faut-il se fier à une marque

    renommée ? Je n'ai pas non plus envie d'y laisser un bras en plus d'un doigt !

     

    Dites-moi...

     

    Dites-moi...        Dites-moi...

     

     

    Je pense que l'achat de gants anti-coupe s'impose aussi vu mes antécédents. Et là aussi, on en propose à tous les prix... Lesquels choisir ?

    Plus que d'habitude, aujourd'hui, j'attends vos réponses afin de me forger un avis sur base d'expériences fiables et je vous en remercie d'avance.

     

    Dites-moi...

     

     


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